Des envies de meurtre ?
Olivier, une fois averti, vient me retrouver après avoir essayé de me joindre sur ce satané GSM qui, après vérification, est bien dans le fond de mon sac. Mais, vu qu'il est dans le coffre, je ne l'entends pas, logique ^^'.
Pendant ce temps, le gentil professeur revient avec sa pince. Je m'attends, logiquement, à ce qu'il tourne délicatement la broche dans la serrure... mais c'est un italien ! Ne jamais faire confiance à un italien muni d'une pince ! Sans prévenir, il tire d'un coup violent sur l'attache qu'il brandit sous mon nez avec un Tadaaaaaaam muet, mais moi, je l'ai distinctement entendu ! Super ! Sauf qu'il y a laissé un petit bout, le minuscule renflement du bout de l'attache.
Horreur ! Catastrophe ! Après le regard triomphant, regard effaré quand il s'aperçoit que la clef n'entre pas jusqu'au fond... malgré son insistance. Enfin, il ajoute d'une voix mal assurée : "Vous avez une assistance, genre Touring assistance ? Un truc du genre ? Non ? Ah zut ! Alors, va falloir voir avec un garagiste..."
Du coup, mes envies meurtrières se déplacent. Lucas échappera mais je crois que le prof a compris, il a lu quelque chose dans mes yeux, il fuit...
À bout de nerfs, je décide d'aller à la rencontre d'Olivier qui, évidemment, s'est fait charger par notre garagiste sur le chemin (garagiste prévenu par le prof). Il ne me voit pas, je ne le vois pas. Le garage est fermé, je dois attendre l'ouverture dans une bonne demi-heure. Lucas et moi, nous patientons mais l'angoisse monte : Olivier devrait être là !
J'envoie Lucas vers la voiture sur le parking de l'école, s'assurer qu'Olivier n'y est pas arrivé, chargé par un automobiliste courtois. Prise de panique, je suis certaine qu'il nous a fait un malaise. Il est étendu dans le salon avec Robin et Laura qui ne savent pas comment réagir... je ne tiens plus. Je cours vers l'école à mon tour. S'il n'y est pas, je filerai à la maison en stop !
Ouffff ! Il est là, avec le garagiste ! Et Lucas s'apprêtait à venir me prévenir.
Il faut enlever le barillet ! Ce n'est pas une mince affaire, c'est que c'est solide une Ford ! Après de nombreux efforts, il s'avère qu'il faut retirer la colonne de direction.
Je vois donc le garagiste s'affairer sur deux vis sans tête. Le voilà qui tente de faire sauter la sécurité au marteau et au burin ! La tête d'Olivier !!! Le pauvre, il voit sa voiture griffée, heurtée, violentée par le garagiste... je crois qu'il va vômir...
Le pire reste à venir car le pauvre va rentrer à la maison dans l'auto du garagiste... avec la colonne de direction complète, volant compris, sur les genoux. Ils ont réussi à l'avoir mais reste à retirer cette saloperie de morceau ridicule de la serrure. Si on n'y arrive pas, il faudra demander lundi à Ford de nous en commander un. Une semaine minimum pour l'obtenir. Et je rappelle que, depuis la veille, nous sommes sans courant ! Et pendant ce temps-là, la voiture reste mal garée (évidemment) sur le parking de l'école de Robin, les deux vitres ouvertes... et l'orage menace.
Nous devions porter nos affaires au garde-meuble à 15h. Olivier avait commencé à charger la remorque. Il retire rageusement le frigo dès qu'il arrive à la maison, toujours cet orage qui menace. Et hop, déchirure au niveau des abdos !
Je téléphone au garde-meubles pour savoir si nous pouvons porter nos biens samedi également, la charmante madame m'annonce qu'on a jusque midi (elle doit récupérer sa fille à l'école) ou ce sera pour lundi. De toute façon, sans voiture, nous n'irons pas loin...
Le lendemain, samedi donc, à 10h45, le garagiste nous ramène l'auto à la maison : il a réussi à retirer le bout du bout du bic de cette foutue serrure. Génial, on a 1h15 pour tout recharger dans la remorque (évidemment, nous ne nous étions pas avancés, on se voyait rester là, une semaine dans le noir !) et déposer au garde-meuble.
Course poursuite, en deux trajets, nous avons apporté tout ce que nous devions au garde-meuble !
Pendant ce temps, le gentil professeur revient avec sa pince. Je m'attends, logiquement, à ce qu'il tourne délicatement la broche dans la serrure... mais c'est un italien ! Ne jamais faire confiance à un italien muni d'une pince ! Sans prévenir, il tire d'un coup violent sur l'attache qu'il brandit sous mon nez avec un Tadaaaaaaam muet, mais moi, je l'ai distinctement entendu ! Super ! Sauf qu'il y a laissé un petit bout, le minuscule renflement du bout de l'attache.
Horreur ! Catastrophe ! Après le regard triomphant, regard effaré quand il s'aperçoit que la clef n'entre pas jusqu'au fond... malgré son insistance. Enfin, il ajoute d'une voix mal assurée : "Vous avez une assistance, genre Touring assistance ? Un truc du genre ? Non ? Ah zut ! Alors, va falloir voir avec un garagiste..."
Du coup, mes envies meurtrières se déplacent. Lucas échappera mais je crois que le prof a compris, il a lu quelque chose dans mes yeux, il fuit...
À bout de nerfs, je décide d'aller à la rencontre d'Olivier qui, évidemment, s'est fait charger par notre garagiste sur le chemin (garagiste prévenu par le prof). Il ne me voit pas, je ne le vois pas. Le garage est fermé, je dois attendre l'ouverture dans une bonne demi-heure. Lucas et moi, nous patientons mais l'angoisse monte : Olivier devrait être là !
J'envoie Lucas vers la voiture sur le parking de l'école, s'assurer qu'Olivier n'y est pas arrivé, chargé par un automobiliste courtois. Prise de panique, je suis certaine qu'il nous a fait un malaise. Il est étendu dans le salon avec Robin et Laura qui ne savent pas comment réagir... je ne tiens plus. Je cours vers l'école à mon tour. S'il n'y est pas, je filerai à la maison en stop !
Ouffff ! Il est là, avec le garagiste ! Et Lucas s'apprêtait à venir me prévenir.
Il faut enlever le barillet ! Ce n'est pas une mince affaire, c'est que c'est solide une Ford ! Après de nombreux efforts, il s'avère qu'il faut retirer la colonne de direction.
Je vois donc le garagiste s'affairer sur deux vis sans tête. Le voilà qui tente de faire sauter la sécurité au marteau et au burin ! La tête d'Olivier !!! Le pauvre, il voit sa voiture griffée, heurtée, violentée par le garagiste... je crois qu'il va vômir...
Le pire reste à venir car le pauvre va rentrer à la maison dans l'auto du garagiste... avec la colonne de direction complète, volant compris, sur les genoux. Ils ont réussi à l'avoir mais reste à retirer cette saloperie de morceau ridicule de la serrure. Si on n'y arrive pas, il faudra demander lundi à Ford de nous en commander un. Une semaine minimum pour l'obtenir. Et je rappelle que, depuis la veille, nous sommes sans courant ! Et pendant ce temps-là, la voiture reste mal garée (évidemment) sur le parking de l'école de Robin, les deux vitres ouvertes... et l'orage menace.
Nous devions porter nos affaires au garde-meuble à 15h. Olivier avait commencé à charger la remorque. Il retire rageusement le frigo dès qu'il arrive à la maison, toujours cet orage qui menace. Et hop, déchirure au niveau des abdos !
Je téléphone au garde-meubles pour savoir si nous pouvons porter nos biens samedi également, la charmante madame m'annonce qu'on a jusque midi (elle doit récupérer sa fille à l'école) ou ce sera pour lundi. De toute façon, sans voiture, nous n'irons pas loin...
Le lendemain, samedi donc, à 10h45, le garagiste nous ramène l'auto à la maison : il a réussi à retirer le bout du bout du bic de cette foutue serrure. Génial, on a 1h15 pour tout recharger dans la remorque (évidemment, nous ne nous étions pas avancés, on se voyait rester là, une semaine dans le noir !) et déposer au garde-meuble.
Course poursuite, en deux trajets, nous avons apporté tout ce que nous devions au garde-meuble !
L'abbiamo fatta !
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